Des voix s’élèvent jugeant le projet incompatible avec l’harmonie des façades et du jardin. En effet, l’ensemble du campus impérial se distingue par son élégante cohésion architecturale néo-classique. De plus, le parc arboré est considéré comme un agréable lieu de promenade. Il est proposé de positionner la station dans le parc de l’Orangerie, mais les scientifiques s’y opposent. Tout d’abord, elle serait trop éloignée de l’Université et donc des recherches liées à ces mesures mais aussi trop éloignée de l’Observatoire, seul lieu à distribuer l’heure exacte indispensable à l'exploitation conjointe des enregistrements sismologiques de plusieurs stations. De plus, les rue Goethe et de l’Université sont alors interdites à la circulation des véhicules de transport, réduisant ainsi les vibrations associées. Le site du campus est donc totalement approprié. Finalement, le pouvoir impérial tranche et fait taire les oppositions : la station sera installée sur le campus.
Le comte Hermann zu Solms – Laubach, l’une des principales figures de l’opposition et directeur de l’Institut de botanique, situé à proximité de la nouvelle station juge le bâtiment « disgracieux » et « repoussant ».